werakiko

Récits et dessins.

Samedi 18 septembre 2010 à 3:30

http://werakiko.cowblog.fr/images/2.jpgJe viens de retrouver mon blog, qui avait chuter dans les abysses de mon âme, et, d'un coup de vent provenant du tréfonds de ce gouffre au paroi imagé, je le fais ressurgir en y mettant des images de quelques figurines, provenant de l'univers fantastique de Warhammer 40,000.

http://werakiko.cowblog.fr/images/12.jpg

Vendredi 7 mai 2010 à 3:55

Ceci est un récit, plus vieux que le précédent et pour ma part, je le trouve moins bon, sûrement parce qu'un bout de temps à séparé l'écriture du début de celle de la fin, mais néanmoins, je cherche à m'améliorer et vous le poste, en espérant que si critique il y a, elle me permettra de rendre ce texte plus "potable"

Ceci est le passé de Moriath, que même lui ne connait pas, ou ne veut plus connaitre...

 

Il faisait sombre, la lumière ne pouvait plus percer ces nuages, ces nuages de terreur et de malheur. Theren, ce fut mon nom. Mon nom dans un temps non-oublié, qui veut l'être. Je chevauchais sur mon destrier, dont l'armure étincelait sous les flammes qui jonchaient les rues, les flammes qui infestaient les demeures des gens, des gens qui maintenant, brûlent eux-même leurs maisons, sous le joug du fléau ravageur, ce même fléau qui me conduisait vers la demeure du Baron Vaillefendre. Ce même fléau qui faisait frémir mon cheval à chaque coup de sabot. Ce même fléau qui allait me prendre tout, ci cela n'est pas déjà fait.

 

"Vas prendre ton arme puisqu'elle te serra utile. Oublie cette lumière puisqu'elle n'est que du passé. Ignore tes origines, puisqu'ils ne te suivront pas, là où je te mène en ce jour qui serra maintenant jour où la peur cessera de couler en toi, ainsi que bonheur. Ce jour serra le premier de ta vraie vie, la vie où tu accompliras ton destin."

 

Le Baron me parlait, m'entrainait, me médusait. Cette voix me parvenait dans ma tête, brouillais mes pensés, cette voix me rendait fou, autant que cette contrée dévasté. Je chevauchais avec une vitesse folle, mes cheveux noir battaient au vent. Les coups de sabots de ma monture arrachaient à chaque fois la terre qui avait le malheur de se trouver en dessous. Stratholme, cette belle citée... Morte.

 

J'entrais dans le portail de la ville, les hordes  de non-mort se tassait en rang en me voyant, la bave, d'une couleur tellement affreuse,  sortait de ce qui restait de leur gueule, ou de ce qui en restait. Je les voyais déjà saliver devant mon corps, qui aurait bien git au sol, comme un buffet pour cette horde de cannibales. Un buffet qui n'en fut jamais un grâce à la voix lointaine du Baron qui leur ordonnait de fuir le chemin pour me laisser passer.

 
Enfin, je voyais la demeure du Baron, enfin, je verrais ma fin à l'intérieur. Je laissais mon destrier derrière moi et entrais dans le lugubre bâtiment. Chaque pas que je faisais me rendait encore plus fou. Le sol de cet endroit était couvert d'un liquide verdâtre, emplit de morceaux humains. Le Baron m'attendait à la fin de ma marche. Je ne savais pas ce qui allait me rendre comme je le serrais, cette longue traversé dans ce lieu désolé ou l'homme qui me terrifiait. Surement les deux. Mais quand je suis arrivé près de lui, je sus que ma réponse était fausse...

 

"Prend ce heaume, m'a-t-il dit, prend-le et obéit."

Le Baron me tendait son heaume, d'un noir perçant, des cornes en pierre qui l’ornaient. Un rubis en son centre, entre les troues pour les yeux. Je ramassis donc se heaume, le mit... Et mon âme en sentit le choc. Les runes de son dessus se formèrent, du même rouge que le rubis, le même rubis qui me valait ma place ici même. Le visage du Baron se crispa horriblement pour marquer un sourire au bout de ses lèvres, ses sombres lèvres, qui avaient du goûter tant de fois aux sang d'innocent. Son regard perçait ma peau, dévorait mon esprit. J'eus l'impression que son casque fusionnait avec mon crane, que le mal qu'il contenait était maintenant en moi, ce qui n'était pas tout à fait faux.

Son ordre était clair, réunir les goules, qu'est-ce qui aurait été plus simple que cela ? Pourquoi ne pas avoir demandé à un autre servant parmi tant d'autre. Non, je devais faire cela, sous la noire lumière que le soleil projetait cette journée là. Sous la pire honte qui pouvait toucher un homme de lumière comme moi. Un ex-homme de lumière... Un cor, fait dans une corne d'une créature que je n'avais jamais vu... Bien que je n'avais jamais exploré le monde, vu mon jeune âge, je savais que ce cor ne venait pas de notre monde, tel que connu par moi.

Le souffle que je fis dans ce cor provoqua un son aussi épouvantable que l'armée qui se formait devant moi. Un son, un seul son pour faire venir cette armée de non-mort. Une centaine de goule rampait à mes pieds, deux abominations arrivaient en même temps, écrasant les non-chanceux dans leur chemin, ou bien était-ils chanceux... Ils connaissaient la mort eux, moi, je devais obéir...


"Maintenant, es-tu fier de ton armée ? N'éprouve-tu pas la moindre chose devant tes soldats ? La terreur ? Pourquoi la terreur ? C'est ton armée maintenant... Tu n'en veux pas ?! Alors regarde ce qu'ils vont faire maintenant qu'ils n'ont pas d'ordres de leur maitre !"

Que pouvait-il me faire subir de pire que ce que je subissais déjà ? S’il demandait à ses esclaves de me tuer, je l'en remercierais. Mais non, la troupe de soldats en décomposition partit vers la route, et je sus plus tard, lors de leur retour, qu'ils avaient attaqué un second village, voyant la troupe du double de non-mort qu'au départ...

D'autres ordres suivirent, des demandes, des dons, mais je refusais tout, je ne faisais qu'obéir aux ordres qui, selon moi, n'étaient pas contre mes principes. Mais même si les ordres étaient d'une absurdité, chacun conduisait mon âme vers les abysses. J'allais finir comme lui...

 

La lumière ne berce plus mon regard maintenant, je ne sens plus la chaleur apaisante sur qu’elle je pouvais m’assoupir, je ne subis que le mal et je le cause aussi… Je ne suis plus le même, mon nom n’est plus Thélen, il ne le serra plus, je suis dorénavant, Moriath le déchu. Je tue, je torture, j’insulte, tout ce que je combattais avant, je le fait maintenant. Un an je crois, si je me fis à mon maitre, une longue année à ne voir que la mort et la causée. Je porte le fouet, le frappant sur les innocents, sur les bêtes qui n’avancent plus, sur les futurs esclaves de ma noirceur, et moi, je ris, je ris tellement, face au mal que je créer autour de moi, face au bien que cela me fait. J’ai perdu ma vie à servir la lumière, lorsque porter coup aux faibles est tellement apaisant…

 

J’ai sombré, mon âme est morte, mais mon bras est toujours là, assez fort pour supporter le poids de ma lame, qui portera toujours coups sur mes adversaires…


Jeudi 6 mai 2010 à 3:19

L'éternité peut être une merveille, une chose que les gens veulent, qu'ils souhaitent, qu'ils cherchent, mais où cette longue vie peut nous mener ? Les gens vivent et meurent, ainsi est le cycle de se monde, mais des gens pensent pouvoir briser ce cycle, des gens l'ont fait...

La famille Lunenoire, une famille qui jadis était une élite de la puissance même qui se rependait chez les elfes, qui maintenant, ne se résume qu'à quelques membres qui se cachent des autres, protégeant et chérissant leur fardeau, puisque l'éternité n'est rien d'autre qu'un immense fardeau dans les temps où nous sommes, mais reste encore des gens qui convoite se malheur...

Les Lunenoires, une famille de surdoué, de prodige, de combattant, aucun suffixe ne pourrait décrire l'étendu de leur force, qui devrait plutôt se nommer Honte, en ces moment où guerre font rage, où le monde à besoin de tout ses héros. Honte parce que eux, restent dans leur tanière, en essayant de prouver leur puissance aux autres, qui restent toujours là, à se mouvoir dans des temps infini, en oubliant le reste du monde, en se cachant du reste du monde...

Il ne reste que les ancêtres, cinq, les parents et trois enfants, chacun de parents différents... Quatorze éternels se partageant une force invaincue et qui ne sera plus défié. Mohirim, Farhan et Lurkan, les derniers enfants de cette caste, les derniers de tous. Ce fut un cauchemar pour les pères. Trois fils, aucune fille, les règles sont claires et malheureusement, respecté. Un seul enfant par couple, ainsi, les derniers du clan Lunenoire virent le jour en même temps, sous les rayons d'une lune pleine, sous l'avenir qui leur serait dur...

Ils grandirent, cote à cote, dans une pureté jamais vu dans cette montagne boisée et cachée du monde, sous les rayons infatigable de la Lune. Ils adoptèrent chacun des talents, Mohirim devint un druide, l'un des meilleurs jamais vu dans la famille, mais qui limitait ses talents à l'aide des autres et aux guérisons. Farhan devint agile, fort, il savait autant manier une lame et un arc, que le soleil savait illuminer et aveugler. Lurkan, lui, devint d'une robustesse incroyable, il pouvait faire trembler la montagne sous ses poings et avoir la tendresse de l'eau la plus douce.

Chacun devint une merveille dans sa catégorie. Mais les règles du clan sont strictes, elles le sont depuis le début, et elles le seront jusqu'à la fin, une fin qui est maintenant attendu... Souhaitée. Les enfants prodiges, chacun ami et frère depuis la naissance, durent sacrifier leur amour entre eux pour suivre l'étape de la vie de la famille: L'ère des défis.

Pendant cinquante années, les trois fils durent se battre entre eux, à chaque fois plus fort, à chaque fois, moins d'amitié, moins d'amour. Mais les duels, les petites oppositions, n'avaient aucun sens pour les ancêtres et les pères, un seul moment allait compté, même si avant cela, un vainqueur se vouait un tableau parfait... Un seul moment comptait. Le moment du vrai combat.

 

Lurkan était bel et bien fort, une force qui aurait bien pu détruire les citées d’Azeroth à elle seule, mais Farhan, lui, était fourbe, sans gène, sans sentiment. Tuer pour lui était une marque d’honneur, pouvoir retirer la vie d’une personne, sentir son esprit quitter son corps, et la voir disparaître…  Le combat ne dura que quelques heures, assez pour que Farhan puisse lacérer tout les membres du corps de Lurkan, et assez pour qu’il puisse le forcer à se retirer sa vie par lui-même… Ainsi était la cruauté du Fourbe Farhan. Parce que oui, retirer la vie d’un être était pour lui, une joie intense, mais forcer une personne à se couper la vie, était pour lui, une raison de vivre encore plus.

 

Le combat se fini par la vue d’un sourire, vulgaire et honteux, du Fourbe, en regardant son prochain adversaire, Mohirim, le Gardien. Les pères, d’une extase folle face à ce combat, qui n’était pour eux, loin d’une boucherie que d’autre personnes auraient pus prétendre, avaient déjà, en leurs idées, deviné le gagnant du prochain combat. La famille Lunenoire n’avait aucune honte, puisque la honte les avaient déjà tellement frappé pendant longtemps qu’elle ne comptait plu. Aucune honte de voir le prochain champion de leur clan être un fourbe tueur.

 

Mohirim attendait, percher sur la branche du plus vieil arbre de cette montagne noircis d’idées sombres et sans lumière, à part les quelques rayons lunaires, qui étaient rare depuis les cinquante dernières années. Les racines de sa forme d’Arbre de vie s’introduisirent dans l’écorce de son perchoir, un soutien, puisqu’il avait senti l’odeur insupportable de son ex-frère.

 

Un couteau fila l’air ambiante et percuta violement le corps de l’Arbre qu’était Mohirim, mais cette lame éclata sous la dureté de l’écorce. Farhan se propulsa vers son adversaire, dans une rage folle, ses lames ne savaient point ne pas faire de blessure, et pourtant l’écorce de Mohirim était parfaite, il ne pouvait tolérer cela et voulait pardonner son erreur. Ses dagues se plantèrent dans le corps de Mohirim et celui-ci resta sans broncher, enraciner dans l’arbre qui avait vu toute son enfance, si loin en arrière, mais lorsque Farhan comprit le manège que faisait son rivale, il s’enracina lui aussi dans l’arbre.

 

Mohirim redevint en forme d’Elfe pour projeter sa colère face à son frère sous forme d’énergie, qui déracina le Fourbe d’un violent coup pour le faire tomber de la branche qui servait d’arène. Il tomba dans les profondeurs de la nuit et au moment ou Mohirim s’imaginait déjà triomphant, une épée vint perforer son ventre. Le sang coula, mais peu longtemps, puisque la blessure était déjà guéri lorsque la lame sortit de son corps et Mohirim devint ours et bondit sur son adversaire, qu’il coucha avec aisance et l’enseveli sous une rafale de coup de griffe, mais que pour peu de temps.

 

Farhan sortit de l’emprise de son assaillant en se glissa derrière celui-ci et planta ses deux armes dans son dos, pour faire pousser un cri de douleur qui réveilla leur montagne, trop longtemps endormi. L’ours prit maintenant forme de félin et prit la fuite dans vers l’immense tronc de l’arbre mais une dague fit arrêter sa course en se plantant dans la cuisse du chat blessé. Farhan se rapprocha, tranquillement de son ancien frère, d’une marche impératrice, déjà triomphant de sa bataille. Il chuchota à son rival, qu’il allait rendre à sa mort, un coté digne de la famille et il implanta son autre dague, violement dans le corps meurtris de Mohirim et celui-ce redevint en sa forme d’Elfe, les yeux fermés, près de la fin de son immortalité, mais une partie de lui le poussa à se relever, sous l’œil surpris de son tortionnaire et il redevint sous sa forme d’Arbre de vie et échangea ses blessures pour une grande quantité d’énergie et passa sous forme de Sélénien, réveillant l’alerte de son adversaire, qui se préparait déjà à envoyé ses dagues vers son frère. Mais le Sélénien projeta un rayon, aussi luminescent  que ceux de la lune, aussi violent que celui du feu. Farhan se coucha au sol, blessé, vaincu. Mais le Fourbe cache toujours une carte sous sa manche et cette carte, il l’envoya sur Mohirim, le maudissant à l’exile et à oublier sa forme réel.

 

La famille Lunenoire refusa d’accepter la victoire de Mohirim face à leur nommé champion et continua de suivre les étapes que la vie infini leur forçait. Le nouveau champion du clan décida de quitter la montagne, ce que son frère avait fait après le combat, sous ordre de la malédiction, et il cherche toujours, depuis les siècles qui ont soulignés ce combat, à vaincre celui qui a défait son tableau de victoire parfait…




Voici le premier texte que je vous envois, qui est aussi le plus récent que j'ai écrit.

Werakiko.

Jeudi 6 mai 2010 à 3:17

Bonjour ou bonsoir à tous !

Je dois vous prévenir, vous, qui lisez ces quelques petites lignes, que je ne suis pas de nature à aimer les blogs mais plutôt l'écriture et le dessin et ce blog n'aura pour bût que cela. Ne vous gênez pas à lires mes Nouvelles et à regarder mes  oeuvres avec admiration ou même dégout et si vous le souhaitez, vous pouvez même les commenters, je lirerais avec joie ce que vous m'avez écrit, que ce soit d'un aspect critique, amical ou même une plainte face à une chose qui ait une horreur pour vos tendres yeux.

Werakiko.

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