L'éternité peut être une merveille, une chose que les gens veulent, qu'ils souhaitent, qu'ils cherchent, mais où cette longue vie peut nous mener ? Les gens vivent et meurent, ainsi est le cycle de se monde, mais des gens pensent pouvoir briser ce cycle, des gens l'ont fait...
La famille Lunenoire, une famille qui jadis était une élite de la puissance même qui se rependait chez les elfes, qui maintenant, ne se résume qu'à quelques membres qui se cachent des autres, protégeant et chérissant leur fardeau, puisque l'éternité n'est rien d'autre qu'un immense fardeau dans les temps où nous sommes, mais reste encore des gens qui convoite se malheur...
Les Lunenoires, une famille de surdoué, de prodige, de combattant, aucun suffixe ne pourrait décrire l'étendu de leur force, qui devrait plutôt se nommer Honte, en ces moment où guerre font rage, où le monde à besoin de tout ses héros. Honte parce que eux, restent dans leur tanière, en essayant de prouver leur puissance aux autres, qui restent toujours là, à se mouvoir dans des temps infini, en oubliant le reste du monde, en se cachant du reste du monde...
Il ne reste que les ancêtres, cinq, les parents et trois enfants, chacun de parents différents... Quatorze éternels se partageant une force invaincue et qui ne sera plus défié. Mohirim, Farhan et Lurkan, les derniers enfants de cette caste, les derniers de tous. Ce fut un cauchemar pour les pères. Trois fils, aucune fille, les règles sont claires et malheureusement, respecté. Un seul enfant par couple, ainsi, les derniers du clan Lunenoire virent le jour en même temps, sous les rayons d'une lune pleine, sous l'avenir qui leur serait dur...
Ils grandirent, cote à cote, dans une pureté jamais vu dans cette montagne boisée et cachée du monde, sous les rayons infatigable de la Lune. Ils adoptèrent chacun des talents, Mohirim devint un druide, l'un des meilleurs jamais vu dans la famille, mais qui limitait ses talents à l'aide des autres et aux guérisons. Farhan devint agile, fort, il savait autant manier une lame et un arc, que le soleil savait illuminer et aveugler. Lurkan, lui, devint d'une robustesse incroyable, il pouvait faire trembler la montagne sous ses poings et avoir la tendresse de l'eau la plus douce.
Chacun devint une merveille dans sa catégorie. Mais les règles du clan sont strictes, elles le sont depuis le début, et elles le seront jusqu'à la fin, une fin qui est maintenant attendu... Souhaitée. Les enfants prodiges, chacun ami et frère depuis la naissance, durent sacrifier leur amour entre eux pour suivre l'étape de la vie de la famille: L'ère des défis.
Pendant cinquante années, les trois fils durent se battre entre eux, à chaque fois plus fort, à chaque fois, moins d'amitié, moins d'amour. Mais les duels, les petites oppositions, n'avaient aucun sens pour les ancêtres et les pères, un seul moment allait compté, même si avant cela, un vainqueur se vouait un tableau parfait... Un seul moment comptait. Le moment du vrai combat.
Lurkan était bel et bien fort, une force qui aurait bien pu détruire les citées d’Azeroth à elle seule, mais Farhan, lui, était fourbe, sans gène, sans sentiment. Tuer pour lui était une marque d’honneur, pouvoir retirer la vie d’une personne, sentir son esprit quitter son corps, et la voir disparaître… Le combat ne dura que quelques heures, assez pour que Farhan puisse lacérer tout les membres du corps de Lurkan, et assez pour qu’il puisse le forcer à se retirer sa vie par lui-même… Ainsi était la cruauté du Fourbe Farhan. Parce que oui, retirer la vie d’un être était pour lui, une joie intense, mais forcer une personne à se couper la vie, était pour lui, une raison de vivre encore plus.
Le combat se fini par la vue d’un sourire, vulgaire et honteux, du Fourbe, en regardant son prochain adversaire, Mohirim, le Gardien. Les pères, d’une extase folle face à ce combat, qui n’était pour eux, loin d’une boucherie que d’autre personnes auraient pus prétendre, avaient déjà, en leurs idées, deviné le gagnant du prochain combat. La famille Lunenoire n’avait aucune honte, puisque la honte les avaient déjà tellement frappé pendant longtemps qu’elle ne comptait plu. Aucune honte de voir le prochain champion de leur clan être un fourbe tueur.
Mohirim attendait, percher sur la branche du plus vieil arbre de cette montagne noircis d’idées sombres et sans lumière, à part les quelques rayons lunaires, qui étaient rare depuis les cinquante dernières années. Les racines de sa forme d’Arbre de vie s’introduisirent dans l’écorce de son perchoir, un soutien, puisqu’il avait senti l’odeur insupportable de son ex-frère.
Un couteau fila l’air ambiante et percuta violement le corps de l’Arbre qu’était Mohirim, mais cette lame éclata sous la dureté de l’écorce. Farhan se propulsa vers son adversaire, dans une rage folle, ses lames ne savaient point ne pas faire de blessure, et pourtant l’écorce de Mohirim était parfaite, il ne pouvait tolérer cela et voulait pardonner son erreur. Ses dagues se plantèrent dans le corps de Mohirim et celui-ci resta sans broncher, enraciner dans l’arbre qui avait vu toute son enfance, si loin en arrière, mais lorsque Farhan comprit le manège que faisait son rivale, il s’enracina lui aussi dans l’arbre.
Mohirim redevint en forme d’Elfe pour projeter sa colère face à son frère sous forme d’énergie, qui déracina le Fourbe d’un violent coup pour le faire tomber de la branche qui servait d’arène. Il tomba dans les profondeurs de la nuit et au moment ou Mohirim s’imaginait déjà triomphant, une épée vint perforer son ventre. Le sang coula, mais peu longtemps, puisque la blessure était déjà guéri lorsque la lame sortit de son corps et Mohirim devint ours et bondit sur son adversaire, qu’il coucha avec aisance et l’enseveli sous une rafale de coup de griffe, mais que pour peu de temps.
Farhan sortit de l’emprise de son assaillant en se glissa derrière celui-ci et planta ses deux armes dans son dos, pour faire pousser un cri de douleur qui réveilla leur montagne, trop longtemps endormi. L’ours prit maintenant forme de félin et prit la fuite dans vers l’immense tronc de l’arbre mais une dague fit arrêter sa course en se plantant dans la cuisse du chat blessé. Farhan se rapprocha, tranquillement de son ancien frère, d’une marche impératrice, déjà triomphant de sa bataille. Il chuchota à son rival, qu’il allait rendre à sa mort, un coté digne de la famille et il implanta son autre dague, violement dans le corps meurtris de Mohirim et celui-ce redevint en sa forme d’Elfe, les yeux fermés, près de la fin de son immortalité, mais une partie de lui le poussa à se relever, sous l’œil surpris de son tortionnaire et il redevint sous sa forme d’Arbre de vie et échangea ses blessures pour une grande quantité d’énergie et passa sous forme de Sélénien, réveillant l’alerte de son adversaire, qui se préparait déjà à envoyé ses dagues vers son frère. Mais le Sélénien projeta un rayon, aussi luminescent que ceux de la lune, aussi violent que celui du feu. Farhan se coucha au sol, blessé, vaincu. Mais le Fourbe cache toujours une carte sous sa manche et cette carte, il l’envoya sur Mohirim, le maudissant à l’exile et à oublier sa forme réel.
La famille Lunenoire refusa d’accepter la victoire de Mohirim face à leur nommé champion et continua de suivre les étapes que la vie infini leur forçait. Le nouveau champion du clan décida de quitter la montagne, ce que son frère avait fait après le combat, sous ordre de la malédiction, et il cherche toujours, depuis les siècles qui ont soulignés ce combat, à vaincre celui qui a défait son tableau de victoire parfait…
Voici le premier texte que je vous envois, qui est aussi le plus récent que j'ai écrit.
Werakiko.
ah qui ne r^ve pas d'être eternel, la quète de l'eternité !! mais bon l'être humain a son chemin à parcourir de sa naissance en passant par des etapes de la découverte et jusqu'au jour du grand départ.
sympa ton écrit, l'écriture est une belle passion , un bon moyen d'expression artistique tout comme la musique et autres arts.
bonne journée et bonnes créativités à venir.